Comment une question narrative et poétique peut-elle faciliter le partage d'une culture d'entreprise implicite ?
Imaginez une entreprise de loooonnngue histoire, de forte image, de grande tradition. Une de ces entreprises qui possèdent, comme les grandes familles, un code, des usages, des tabous, qui ne se disent pas ; ne s'écrivent pas. Mais se devinent ; se transmettent.
Imaginez donc cette entreprise soucieuse de bien intégrer les nouveaux entrants.
Question : comment aborder avec eux, paradoxe suprême, cette culture interne qu'ils se doivent de bien posséder, sans jamais savoir où la trouver ?
Un carnet clandestin rassemble deux caractéristiques bien utiles dans ce cas :
Nous imaginons donc, avec ma collègue Laurence Arnal (Carewan by KPMG), de créer une séquence de carnet clandestin.
Pour amener les participants, managers recrutés depuis un an ou moins, à formuler ce qu'ils ont compris des us et coutumes à connaître, nous les invitons dans un scénario un rien mystérieux…
Les praticiens amoureux des questions puissantes et poétiques apprécieront la mise en scène…
"Nous sommes dans un an. Vous êtes reconnu.e comme un.e manager particulièrement bien intégré.e, alors même que vous êtes arrivé.e plutôt récemment.
Vous êtes tellement imprégné.e de l'esprit maison, et si professionnel.le que l'on vous confie avec plaisir les nouveaux entrants en tutorat.
La dernière personne recrutée qui vous a été confiée, est vive d'esprit, enthousiaste, compétente et énergique. Vous rêveriez de la voir s'installer dans la Maison pour de nombreuses années. Mais quelques alertes vous chagrinent. Impétueuse, parfois maladroite, cette personne soulève parfois des remarques agacées et dérange quelques habitudes.
Vous souhaitez vraiment l'aider à s'intégrer au mieux dans cette culture subtile, et si singulière.
Vous la recevez dans une heure, en entretien.
Vous avez fait votre choix.
Devant vous, posé sur votre bureau, votre carnet.
Le carnet que vous avez choisi, dans vos première semaines, en arrivant dans cette prestigieuse entreprise, de porter sur vous. Vous avez décidé de noter, au jour le jour, tout ce que vous pouviez repérer, apprendre, comprendre des règles de vie commune dans cette Maison : les conseils des anciens, glissés à l'atelier ; les éclairs qui vous traversaient en écoutant les conversations de machines à café.
Tout ce qui vous a aidé à progresser en harmonie dans la Maison.
Vous caressez du bout des doigts la couverture usée d'avoir été transportée dans votre poche, dans votre sac.
Dans une heure, vous remettrez à votre collègue, en tant que tuteur et à titre amical, ce carnet, en prêt, pour l'aider, lui ou elle aussi, à faire sa route."
Chers managers, vous avez une heure pour rédiger, en petits groupes, votre propre version du carnet clandestin.
Imaginez et se transporter, pour libérer nos compétences
Je suis heureuse, en imaginant cette question contée, de célébrer le pouvoir des histoires, et la conviction portée par les praticiens narratifs.
Nous parions que la poésie et la légèreté peuvent aider chacun à se reconnecter avec ses puissances.
Quelques conditions :
Les principes issus de la Permaculture, lorsqu’ils sont pris en compte, améliorent sensiblement la qualité de votre Facilitation de groupe
Recherche de résilience, accueil de diversité, respect, économie d’efforts sont des catalyseurs au service d’une production commune, humaine ou végétale.
Je partage avec vous les points clefs du stage Permaculture et Facilitation, animé par Louise Browaeys et Fabienne Cottret, au Campus de la Transition aux Forges (région parisienne). Ce stage est proposé par Formapart. Merci à elles et eux.
L’agriculture permanente ambitionne une production agricole
L'intention de cette « culture de la permanence » est de permettre à des individus de concevoir leur propre environnement.
Ainsi de créer des habitats humains plus autonomes, durables et résilients. Donc une société moins dépendante des systèmes industriels de production et de distribution. Ces systèmes sont en effet identifiés par Bill Mollison, l’un des théoriciens de la permaculture avec David Holmgren, comme le fondement de la destruction systématique des écosystèmes.
Merci Wikipédia pour ces informations succinctes.
« La facilitation professionnelle regroupe un ensemble de pratiques visant à rendre la tâche d’un collectif plus facile en utilisant au mieux le temps et l’intelligence des individus qui le composent. (…) En fait, le procédé de facilitation canalise l’effort pour rendre la tâche plus efficace et permet d’éviter autant que possible des efforts inutiles. »
Merci Jean-Philippe Poupard in « Devenir facilitateur », 2017, Ed. 1mn30 publishing.
Comment ces principes servent-ils une conception et une animation d’atelier plus robustes ?
C'est ce que je vous propose de découvrir dans l'article suivant !
Être Facilitateur mobilise d'autres compétences et qualités qu'animer en position d'expert.e ou de manager.
Vous souhaitez favoriser la participation des salariés à vos travaux : sur l'avenir, sur les nouveaux services à imaginer, sur une organisation à mettre en place…
Vous pariez sur la fécondité d'une réflexion collective. Et vous faites le pas d'une méthode qui ouvre la parole et les idées : World Café, Carte Mentale, Post-It®…
Vos salarié.e.s n'ont pas l'habitude d'être ainsi sollicité.e.s. Vous favoriserez donc leur réflexion avec l'aide de facilitateurs ou facilitatrices internes.
Vous trouvez des volontaires parmi les chef.fe.s de projet, les managers, les expert.e.s internes. Vous avez toute confiance en eux.
Pourtant, ils/elles sont possiblement et temporairement inaptes à la facilitation.
Car … ILS/ELLES SAVENT !
Oui, ils/elles connaissent le sujet, et ont probablement un avis sur la question, les pistes à recommander.
Résultat : vous obtiendrez peut-être essentiellement des idées qui reflètent l'avis de l'animateur-qui-sait. Alors, pourquoi investir tant de jours/hommes ?
Comment former des facilitateurs et facilitatrices internes ?
"J'ai compris que Facilitateur et Animateur, ce n'était pas la même chose !"
Au cours de mon dernier atelier sur-mesure "de manager à facilitateur/facilitatrice", nous avons passé deux jours en situations de facilitation (Philipps 6x6, World Café, cartes mentales), au cours desquels les 8 personnes se sont surtout entraînées… à ne rien faire !
Tant d'énergie mobilisée par Jérôme, Sheila, Sophie… Pour ne pas porter le poids du résultat ! Pour laisser de la place, afin que la pensée du groupe puisse se déployer !
"Si tu veux que le groupe avance, apprends à reculer !"
Ces managers, chef.fe.s de projets, expert.e.s ont rempli en parallèle leur besace de savoir-faire qui remplacent avantageusement, au service du groupe, les idées, les sollicitations, les stimulations directes qu'ils connaissent bien :
Quels savoir-faire êtes-vous prêt.e à mettre en sourdine, et quelle nouvelle compétence souhaitez-vous ajouter à votre palette, pour devenir demain un facilitateur, une facilitatrice qui favorise la diversité des idées du groupe ?
Les Pratiques Narratives proposent de considérer votre problème comme un acteur extérieur à vous, sur lequel il est plus aisé d’agir.
Acrobatique ? Je vous explique !
Cette Timidité qui vous empoisonne est en vous. Cette Colère qui vous crée des problèmes vous habite. D’ailleurs, c’est ainsi que l’on vous définit : « il est compétent mais on ne l’entend jamais. Il EST trop timide. » « Pas très envie de travailler avec elle. Elle EST colérique. »
Et si Colère, ou Timidité (inscrivez ici le nom de votre « défaut » habituel) n’étaient pas EN vous mais À CÔTÉ de vous ? Tels des voisins encombrants qui s’invitent parfois, mais à qui l’on ferme parfois la porte au nez ?
Thérapeutes et praticiens narratifs pratiquent cette personnification. Ils ou elles parlent du problème comme d’un personnage qui agit et vous accompagne.
Cette vision a deux avantages :
À quelles occasions Timidité est-elle absente ? Qui ou quelles circonstances la font fuir ?
Oui.
Offrir une chaise vide au Problème pour qu’il s’installe et nous permette de discuter directement avec notre interlocuteur sans s’interposer, peut surprendre.
Mais est-ce beaucoup plus déroutant que de considérer qu’une personne EST son problème ?
Trouver un nom au problème, l’observer pour repérer ses habitudes, ses horaires d’apparition, ses complices peut sembler dérisoire, ou puéril.
Est-ce plus insensé que d’imaginer que ce comportement est si consubstantiel, que la personne devra, tel un héros de conte, se découper un morceau de chair ou s’arracher le cœur pour s’en défaire ?
Hum. L’idée de “marcher” ou “pas marcher” est, à mon goût, décalée dans le monde narratif...
Disons que des personnes que j’ai accompagnées ont tiré bénéfice de l’exercice. Certaines ont écrit à leur problème pour négocier un mode de cohabitation plus respectueux de leur liberté d’agir. D’autres ont repéré dans quelles situations elles pouvaient gagner du confort, et ont cherché à multiplier ces occasions d’agir autrement.
"Ah la la ! Celui-là, quel poème !"
Parle-t-on plus souvent dans vos réunions de famille des jours où vous avez reconduit chez elle votre voisine âgée désorientée, ou de la bûche de Noël que vous avez fait tomber en 2008 dans l’évier, lors du Réveillon ?
Elles méritent de prendre autant de place que les histoires d’échec. Dans votre mémoire et dans celle des autres. C’est pourquoi je milite, avec les autres praticiens narratifs, pour repérer et célébrer les instants positifs de nos vies. Je suis aujourd’hui « écrivaine publique de poème de vie ».
Je vous écoute partager des souvenirs précis de moments agréables. De ces instants, petits ou grands, auxquels vous repensez avec un sourire intérieur. De ces occasions qui ressemblent à ce que vous aimez dans la vie, là où vous vous sentez à la juste place.
Je note vos mots, vos expressions.
Je rédige ensuite avec ce matériau un texte d’une à quatre pages, composé de vos paroles (97%) et de quelques ajouts littéraires -titre, métaphores (2%). Rajoutez 1% d’humour et d’intuition et obtenez 100% d’émotion !
Je le propose à des personnes, et à des groupes.
Un exemple ?
La Moquette est un lieu culturel ouvert de 21h à 1h aux SDF et ADF (Sans et Avec Domicile Fixe) curieux de culture et de rencontres.
Ce soir : une pause parmi les conférences ou les concerts ; jeux de cartes, Scrabble, discussions autour des dernières éditions des journaux. J’écoute Sylvain, me raconter en souriant ses souvenirs de cuistot, marin pêcheur, métallo, technicien lumière autodidacte, déménageur « A l’ancienne, attention ! Jamais une blessure depuis des années... ». Il repartira ce soir avec un poème intitulé l’homme aux multiples vies.
Voici une Université d’entreprise, lieu d'accueil des séminaires et formations internes. Aujourd'hui : réunion annuelle de l’équipe dans son ensemble. Commerciaux.les, régisseur.se.s, équipe d’entretien des Jardins, agent de sécurité, cuisinier, hôtesse d’accueil, femmes de ménage sont rassemblés... Objectif : qu’ils connaissent mieux leurs métiers respectifs afin de développer une coopération fluide.
Ils échangent en petits groupes sur leurs moments positifs les plus remarquables de l’année. De leurs témoignages, je rédige un poème reprenant les valeurs, qualités, savoir-faire dont ils disposent collectivement pour mener à bien leur mission.
Lorsque nous parlons de ce qui nous tient à cœur, nos mots sont puissants, magnifiques, émouvants, vivants. Captivés par le fait de les prononcer, nous ne les entendons pas complétement.
Le rôle du Poète de vie est de prêter attention à ces mots et d'en noter la beauté, pour la retranscrire ensuite.
"Save the saying from being said" est le principe porté par les fondateurs des pratiques narratives : Michael White et David Epston.
Le résultat est une célébration à notre image de ce qui nous tient à cœur.
Et vous, quel sera votre poème de vie ?
Comment soutenir une équipe de pionniers intrépides, appelée à se ranger sous les ordres d’organisateurs très processés ?
Imaginez une équipe SI réactive, conceptrice, engagée au sein d’un groupe industriel français en pleine évolution.
Internationalisation, concurrence... Un géant mondial des progiciels se voit confier la refonte du système d’information, jusqu’ici développé maison !
Les créateurs d'hier sont appelés à devenir équipiers de consultants extérieurs, bardés de certitudes et de méthodes.
Fin d’une période ?
Oui, et début d’un défi que relève la directrice DSI : elle veut garder les talents, maintenir la cohésion et la motivation des 30 personnes présentes.
J’ouvre le séminaire avec l’un des contes les plus anciens de l’humanité : « Kessi le chasseur », conte hittite dont les traces remontent à 2000 ans avant notre ère.
Kessi, chasseur remarquable, irrite les Dieux et entame un voyage périlleux, afin de plaider sa cause. Il devra traverser le monde des morts. Sa mère lui confie un talisman, une des premières traces écrites de porte-bonheur : un écheveau de laine bleu.
Eux aussi, équipe remarquable de concepteurs et réalisateurs de systèmes d'information, vont traverser une période difficile et exaltante...
Je débute par un échange sur leur vision du projet, qui se révèle ambivalente : à la fois apprentissage / excitation et peur / frustration...
Puis, place aux Pratiques Narratives !
Je demande ensuite aux personnes, par petits groupes, de se raconter une situation vécue, concrète, effrayante et excitante, traversée avec succès. Puis d’en lister les ingrédients et compétences de réussite.
L’équipe des managers est invitée à réagir de façon sensible, à cette liste : quelle image cela leur donne-t-il de l’équipe, de contempler ce répertoire de compétences passées au feu des expériences de vie ?
De cette liste de talismans validés par l’expérience, et des réactions, je rédige un poème.
En 2de partie, les personnes imaginent par petits groupes les conditions d’organisation du projet, qui leur permettront de mettre en œuvre les compétences spécifiques que nous venons de lister.
Quelques exemples des propositions, tirées de leurs ressources clefs :
Après ce temps de travail en groupe, j’invite chacun.e à nommer une ressource personnelle spécifique, qui lui appartient.
Avec cette qualité à l’esprit, chaque personne vient choisir son talisman. Ils ou elles le sélectionnent parmi une collection d’objets de perles et de pierres multicolores : bracelets, porte-clef... Ils et elles sont doté.e.s d'un porte-bonheur pour marquer le souvenir de cette journée de célébration des forces communes !
Cette journée de Kick-Off hors normes est un exemple de séminaire inspiré des pratiques narratives, qui prennent un soin particulier des histoires qui nous rendent plus forts et résistants !
Imaginez une armoire remplie de centaines de vestes. Certaines nous embellissent, décuplent notre confiance, et font de nous les rois/les reines du moment. D’autres, parfois très anciennes et étriquées, nous engoncent, nous enlaidissent et limitent nos mouvements.
Ces vestes, ce sont les histoires que nous, et d’autres, racontent sur nous-mêmes.
Nous sommes pétri.e.s de ces histoires qui nous définissent par exemple comme amateur de musique, grande timide, anglophone, avec le rythme dans la peau et capable de colère froide, etc.
Nous ne pouvons pas retirer les vestes de l’armoire. Mais nous pouvons choisir quelles vestes nous mettons à l’entrée de l’armoire pour les porter chaque jour.
Rester volontairement en lien avec les histoires qui me conviennent !
Celles qui parlent des moments où j'ai
Les histoires qui me donnent des forces, je peux les repérer, les garder en mémoire, les raconter ou les écrire...
Que je sois coach, thérapeute, parent... Être curieux.se de ces histoires préférées, leur donner de l’espace. Faire taire un instant les histoires problématiques qui ont tendances à prendre tant de place dans les discussions. Repérer dans les échanges les signaux minuscules des histoires positives.
Ce pari sur la puissance de nos Histoires de Vie préférées, fonde les Pratiques Narratives.
Mises en forme, pratiquées et théorisées tout d’abord par des thérapeutes australien (Michaël White) et néo-zélandais (David Epston) dès les années 1990, ces façons de faire prennent de l’ampleur dans l’accompagnement de groupes, d’individus, dans le monde social et dans celui de l’entreprise.
Parcourez le blog de la Fabrique Narrative (formation à Bordeaux, Paris, Lyon, Aix en Provence) qui regroupe de multiples ressources et des témoignages d’interventions
Je parle de Pratiques Narratives ici
Vous avez opté pour un World Café ! 20, 40, 100 personnes passeront une demi-journée à échanger, produire des idées, synthétiser des point clefs pour répondre à une question que vous leur posez : vision de votre avenir, propositions d'amélioration du fonctionnement collectif, actions d'accompagnement d'un projet important…
"Attention ! Le World Café présente un défaut majeur : il permet de générer des idées. Beaucoup d'idées !"
Comment mettre toutes les chances de votre côté pour une dégustation séance d'exception ?
1. Choisissez une vraie question
2. Faites tester la question par de futurs participants
Organisez une réunion préalable avec de futurs participants et présentez-leur votre idée de question. Laissez-les réagir, amender, améliorer…
Bonus : les personnes consultées seront d'ici la séance de World Café des ambassadrices du thème auprès de leurs collègues.
3. Faites (réellement) confiance à l'intelligence de chacun.e
Pierre Goirand , praticien et formateur expérimenté, le réaffirme : "Le World Café est un outil de transformation sociale"
En choisissant un World Café, vous affirmez votre volonté de considérer chacun.e comme un contributeur capable, responsable, intéressant. Vous partagez le pouvoir de penser l'avenir.
Osez ce pari jusqu’à bout :
4. Prévoyez un facilitateur graphique
Un World Café génère des dizaines d'idées, dont beaucoup sont nouvelles…
La phase de synthèse favorise la mise en avant spontanée des idées qui ressortent, s'associent d'une table à l'autre, se répondent.
Pour répondre à cette fluidité, la meilleure prise de note relève du dessin, des schémas… Optez pour cette mémoire graphique ! Elle offre réactivité, souplesse dans l'utilisation de l'espace, pétillance, en cohérence avec l'ambiance du World Café !
5. Organisez le suivi
Le World Café produit des idées, et des envies d'avoir des idées.
Prévoyez dès la conception un lieu / un temps de décision pour prendre connaissance des propositions et décider de celles qui auront des suites.
Que vous le fassiez dans un univers traditionnel (comité de direction ou comité de pilotage), ou dans des formes plus contemporaines (cercle de décision), assurez-vous que les participant.e.s seront informé.e.s rapidement des suites données à leurs propositions.
Le World Café n'est pas un outil, c'est un parcours d'apprentissage et d'évolution partagés. Ne le gâchez pas en en faisant un évènement "one shot" sans suite !
Pour en savoir plus :
Découvrez le World Café ! ou … contactez-moi !
Dernièrement, une personne qui devait me rencontrer comme future coach potentielle a renvoyé un mail à la Directrice des Ressources Humaines :
"Je dois rencontrer Martine Compagnon. Sur son site, je vois qu'elle est conteuse et elle ne dit pas qu'elle est coach. Est-ce voulu ?"
Situation résolue ! Ce nouveau site martinecompagnon.com vous permet de découvrir facilement les multiples facettes de mon expérience.
Vous avez pu me rencontrer :
Et vous voulez en savoir plus sur mes activités ? Vous trouverez ici toutes les informations nécessaires pour vous donner envie d'aller plus loin.
C'est en découvrant mes facettes de compétences et en partageant vos besoins, que nous trouverons la combinaison gagnante.
Je suis passionnée de sur-mesure, de création, d'intervention avec les personnes concernées : vous, votre équipe, votre association… Nous avons tous et toutes l'intelligence de contribuer à définir les actions de formation, d'accompagnement, de réflexion qui nous feront progresser.
Redevenir auteur.es de sa vie, de son projet, de son parcours, commence par la possibilité de co-créer notre démarche commune de travail.
Découvrez mes activités, rencontrons-nous (en direct ou par téléphone), inventons la façon dont nous nous mettrons au service de vos projets.
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Bonne visite !
Martine COMPAGNON