De conteuse & coach à praticienne narrative…

Comment regarder enfin son problème en face ?

22 octobre 2019

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Vivez des moments essentiels pour progresser !

Facilitatrice passionnée, coach narrative, poète d’entreprise, je tire parti de mes univers (conseil/coaching narratif, contes) pour vous faire bénéficier d’interventions puissantes et poétiques, parfois décalées, toujours sur-mesure.

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Les Pratiques Narratives proposent de considérer votre problème comme un acteur extérieur à vous, sur lequel il est plus aisé d’agir.

C’est simple : déposez-le à côté de vous !

Acrobatique ? Je vous explique !

Vous vous connaissez bien

Cette Timidité qui vous empoisonne est en vous. Cette Colère qui vous crée des problèmes vous habite. D’ailleurs, c’est ainsi que l’on vous définit : « il est compétent mais on ne l’entend jamais. Il EST trop timide. » « Pas très envie de travailler avec elle. Elle EST colérique. »

Et si Colère, ou Timidité (inscrivez ici le nom de votre « défaut » habituel) n’étaient pas EN vous mais À CÔTÉ de vous ? Tels des voisins encombrants qui s’invitent parfois, mais à qui l’on ferme parfois la porte au nez ?

Externalisons l’histoire de problème

Thérapeutes et praticiens narratifs pratiquent cette personnification. Ils ou elles parlent du problème comme d’un personnage qui agit et vous accompagne.

Cette vision a deux avantages :

  • « La personne n’est pas le problème ». Cette conviction permet de continuer à percevoir chez chacun une flamme d’humanité. Quelle que soit la cruauté des conséquences du problème qui s’invite chez lui ou elle.
  • À regarder son problème de loin, de « dehors », chacun peut repérer les espaces, les marges de manœuvre qui l’en sépare. À l’observer comme on le ferait d’une autre personne, on en repère les habitudes et aussi les faiblesses.

À quelles occasions Timidité est-elle absente ? Qui ou quelles circonstances la font fuir ?

Un peu bizarre, non ?

Oui.

Offrir une chaise vide au Problème pour qu’il s’installe et nous permette de discuter directement avec notre interlocuteur sans s’interposer, peut surprendre.

Mais est-ce beaucoup plus déroutant que de considérer qu’une personne EST son problème ?

Trouver un nom au problème, l’observer pour repérer ses habitudes, ses horaires d’apparition, ses complices peut sembler dérisoire, ou puéril.

Est-ce plus insensé que d’imaginer que ce comportement est si consubstantiel, que la personne devra, tel un héros de conte, se découper un morceau de chair ou s’arracher le cœur pour s’en défaire ?

Et ça marche ?

Hum. L’idée de “marcher” ou “pas marcher” est, à mon goût, décalée dans le monde narratif...

Disons que des personnes que j’ai accompagnées ont tiré bénéfice de l’exercice. Certaines ont écrit à leur problème pour négocier un mode de cohabitation plus respectueux de leur liberté d’agir. D’autres ont repéré dans quelles situations elles pouvaient gagner du confort, et ont cherché à multiplier ces occasions d’agir autrement.

Intriguée ? Intéressée ?

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